Ce département a été crée le 1er janvier
1968, par démembrement de l’ancien département de Seine et Oise.
Le département de l’Essonne est une portion de l’ancienne Seine-et-Oise,
comme ses départements limitrophes que sont les Yvelines à l’ouest,
les Hauts-de-Seine au nord-ouest et le Val-de-Marne au nord et nord-est.
À l’est et au sud-est se trouve le plus vaste département de la région
Île-de-France, la Seine-et-Marne. Au sud et au sud-ouest, se trouvent
le Loiret et l’Eure-et-Loir qui appartiennent tous deux à la région
Centre.
Note : ce site officiel
du ministère de la culture vous donne toutes
les informations relatives à tous les lieux
et objets inscrits au patrimoine de chaque commune
d'un département.
Superficie :180
400 ha
Population: 1 215 340 hab.(2009)
Dénsité :674 hab./km²
Nb de communes : 196
Les départements de la grande couronne de l’Ile de France - Yvelines (78), Essonne (91) - Hauts-de-Seine (92) - Seine-Saint-Denis (93) – Val de Marne (94) – Val d’Oise (95) -, crées par la loi du 10 juillet 1964, non pas d’histoire propre. En effet, ils sont tous issus du démembrement du département de la Seine et Oise. Une notice historique est disponible en consultant cet ancien département en cliquant sur l’icone ci-contre.
Ce village est fort agréablement
situé sur la rive gauche de la Seine. L'église paroissiale,
bâtie dans une belle position, ne se distinguait que
par son ancienneté, lorsqu'il y a quelques années Rossini
lui donna une célébrité de quelques moments
Le divin
maestro y fit entendre une messe en musique, qu'il avait
composée exprès pour la sainteté du lieu. Il y chanta
et y tint le piano. Des artistes de l'Opéra et des Italiens,
le tant regrettable Nourrit, Bordogni, Levasseur, et
trois célèbres donne (cantatrices), la belle
Madame Merlin et sa fille et Madame Gide, lui prêtèrent
le secours de leur voix. La pauvre petite église d'Évry
n'avait sans doute jamais retenti, et ne résonnera probablement
plus à l'avenir de l'éclat d'aussi célestes accords.
En 1835, époque où ces lignes ont été écrite, le
petit village d’Évry avait une population de 600 habitants.
A ce jour, ce petit village est devenu la préfecture
du département de l’Essonne et sa population était en
2011 de 52 184 habitants avec une densité de 6 287 habitants
au kilomètre carré.
L’Histoire d’Étampes nous
a transmis les faits et gestes d’un barbet qui eut
son heure de célébrité, car il inspira les poètes
de son pays et de son temps. (C’était au commencement
du 18ème siècle.) Il n’avait pas la science
de «Munito», mais, pêcheur d’écrevisses aussi adroit
qu’ingénieux, il fut pendant plusieurs années le
pourvoyeur du réfectoire des Pères Cordeliers, dont
le couvent était situé non loin des rives de l’Oise
[sic]. Ce chien était dressé et même «préparé» par
les religieux, de manière qu’il pût remplir le plus
fructueusement possible son office. Voici de quelle
façon: Son museau ayant été recouvert d’une sorte
de muselière destinée à le protéger, et son corps
imprégné d’une liqueur fétide, propre à attirer
les écrevisses, des morceaux de pain étaient lancés
dans la rivière; la plupart de ces morceaux de pain,
rapidement détrempés, coulaient à fond, et le chien,
plongeant pour les attraper, remontait bientôt à
la surface, tout chargé d’écrevisses qui, sollicitées
par l’odeur qu’il exhalait, s’étaient attachées
à ses poils. L’opération était renouvelée jusqu’à
ce que la provision parût suffisante pour les besoins
du couvent.
Note: Munito était le nom d’un
chien savant d’origine anglaise, adroitement dressé
par son maître, qui l’emmena en tournée dans toute
l’Europe autour de 1820. Munito passait notamment
pour savoir compter, écrire, et jouer aux dominos.
Cet animal légendaire, protoype du chien savant,
faisant probablement l’objet d’une lithographie
de la même série.
Il est souvent fait mention d'Étampes
dans les monuments historiques des rois de la première
race. En 604, Clotaire II fut défait dans le voisinage
de cette ville par Thierry, son neveu, qui y fit prisonnier
Mérovée, et entra en triomphe à Paris peu de temps après.
Sous la seconde race, Rollon, à la tète des Normands,
pilla et brûla Étampes et les environs. Étampes, sous
la troisième race occupe dans l'histoire une place distinguée.
Constance seconde et méchante épouse dut roi Robert,
homme faible et dévot, fit bâtir un noble château dans
cette ville, présent toujours funeste aux habitants.
Robert, qui fonda tant d'églises, érigea l'oratoire
du château d'Étampes en collégiale, sous le titre de
Ste-Marie. En 1030, il data un diplôme de son palais
d'Étampes, ce qui prouve qu'il y séjournait quelquefois
En 1147,il se tint à Étampes une assemblée des grands
du royaume, ou on décida que les croisés iraient par
terre à Constantinople et, où on fit choix de l'abbé
Suger et de Raoul de Vermandois pour gouverner le royaume
pendant l'absence de Louis VII; Raoul était chargé du
commandement des armées, mais sous l'autorité de Suger,
déclaré régent. Une ordonnance en vingt-neuf articles,
qui tient tout à la fois aux droits du monarque, aux
privilèges des communes et à leur police ou administration
intérieure, fut rendue à Paris en 1179, pour la ville
d'Étampes.
Le château d'Étampes, comme tous les châteaux
de cette époque, servie plusieurs fois de prison, jadis
habité par des rois, après la mort de Philippe Auguste
il ne le fut plus que par des prisonniers. En 1194,
il devint la prison du comte de Leicester ; Louis IX
ou saint Louis y fit emprisonner Jean Britaut, chevalier,
accusé d'avoir fait assassiner le fils de Pierre Dubois,
chambellan et secrétaire du roi; mais il ne tarda pas
à le faire relâcher.
Étampes, comme tous les lieux
habités de la France eut sa part des événements qui,
pendant le XIVe et le XV siècle, plongèrent ce royaume
dans un abîme de calamités. En1411, cette ville, occupée
par les gens de la faction d'Orléans, commandés par
Lois de Bosredon, fut assiégée par les Bourguignons.
Bosredon rendit la place le 15 décembre et il lui fut
fait grâce de la vie, mais tous les soldats de la garnison
furent égorgés, à l'exception de trente deux des principaux,
qu'on envoya à Paris les mains garrottées derrière le
dos; c'est ainsi qu'on entendait la justice au xve siècle.
Toutefois, ce même Bosredon, fameux par ses rapines
et amant de la reine Isabeau de Bavière, ne porta pas
loin son impunité. Étant allé à Vincennes en 1417, pour
y visiter, disait-on, la reine Isabeau de Bavière, il
rencontra sur son chemin le roi Charles VI sans s'arrêter,
sans mettre pied à terre, il se borna à le saluer. Piqué
de cette conduite, et instruit des intrigues amoureuses
du chevalier, le roi le fit saisir par le prévôt de
Paris, et, après quelques interrogatoires, on le jeta
dans la Seine, enfermé dans un sac, sur lequel était
cette inscription : « Laissez passer la justice du roi.
»
Etampes fut pris en 1562, et occupé par les troupes
allemandes que le prince de Condé avait attirées en
France. Les protestants reprirent cette place en1567.
Les troupes de la Ligue s'en emparèrent en 1589 ; mais
Henri III, l'ayant reprise peu de temps après, fit décapiter
les magistrats ainsi que le baron de St-Germain, qui
s'y était jeté avec les troupes qu'il commandait. En
1590, Henri IV s'empara d'Étampes et du château, dont
il fit raser les fortifications.
Pendant les troubles
de la Fronde, Turenne entreprit sans succès le siège
de: cette ville, qu'il fut obligé de lever le 27 mai
1662 pour se rapprocher de Paris.
Depuis cette époque, l'histoire
laisse Étampes dans une heureuse obscurité dont elle
fut tirée en 1792 par un attroupement séditieux composé
d'environ 800 hommes des environs, qui fondirent sur
le marché de cette ville, y taxèrent arbitrairement
le prix du blé, et en achetèrent d'après cette taxe.
Henri Simoneau maire d'Étampes, s'opposa de tout son
pouvoir à cette violence. Voyant ses remontrances inutiles
et ses ordres, méprisés, il annonça qu'il allait faire
proclamer la loi martiale ; à ces mots, les séditieux
se précipitent sur ce magistrat et le percent de plusieurs
coups de baïonnettes. Avant d'expirer, il dit a ses
assassins : « Ma vie est a vous, vous pouvez me tuer;
mais je ne manquerai pas à mon devoir, la loi me le
défend. » Instruite de cet attentat, l'Assemblée
Nationale, dans sa séance du 18 mars, décréta qu'il
serait élevé sur la place du marché d'Étampes une pyramide
triangulaire sur laquelle seraient inscrites les dernières
paroles de ce maire courageux, victime de son devoir;
que son action et sa mort seraient représentées sur
un bas relief, qu'on déposerait son écharpe et ce bas
relief au Panthéon, et que, le 3 juin suivant une fête
serait célébrée à Paris pour honorer sa mémoire elle
le fut en effet avec une magnificence extraordinaire,
mais la fin glorieuse du courageux maire d'Étampes est
à peu près oubliée, et l'on cherche en vain dans cette
ville le monument que lui avait décrété l’Assemblée
Nationale.La vallée d'Étampes offre un des plus beaux
paysages de la France par sa fraîcheur et sa variété.
Au bout de la plaine des Sablons, au milieu des prés,
on voit les restes d'un vieux bâtiment, qui porte le
nom de tour de Brunehaut, mais qui est beaucoup plus
ancienne que cette reine sous ses ruines, on a découvert
des fragment des vases, des médailles impériales une
figure de Priape, et d'autres antiquités romaines. Sur
l'emplacement de cet ancien édifice, M.Ch.Viarten a
fait élever un nouveau, qui présente, sous des formes
pittoresques une forteresse isolée. Sur les bords de
la rivière de la Louette, près de la porte de Chaufour,
on rencontre des fossiles en forme de tuyaux de différentes
longueurs et de différents diamètres, que l'on désigne
vulgairement sous le nom de pétrifications d'Étampes.
Au commencement du IX siècle n'était que le nom d'un territoire ou la réunion de quelques cabanes de pêcheurs ou de bateliers. En 863, les incursions des Normands obligèrent ceux qui possédaient les reliques de saint Exupère et de saint Loup de les transporter dans le voisinage de Corbeil et de les mettre en sûreté, non dans ce lieu qui n'avait point de forteresse, mais dans un château appelé Paluau, proche la jonction des rivières d'Étampes et de Juines à 8 ou12 kilomètre du bourg d'Essonne. Ces reliques conservées contribuèrent dans la suite à l'illustration de Corbeil, qui reçut en moins d'un siècle une consistance qu'il n'avait jamais eue. Sa situation sur la route que suivaient les Normands dévastateurs y fit établir un château. Une charte du comte Bourchard, de l'année 1006, démontrerait que les comtes de Corbeil y avaient dès lors un Saint Palais. Corbeil et ses dépendances furent donnés à titre de douaire à Isemburge, veuve de Philippe Auguste, qui s'y retira et y fonda une église et une communauté, qui plus tard devint une commanderie de l'ordre de Malte. Ce fut dans le palais d'Isemburge que le grand maître, Villiers de l'Ile-Adam, tint un chapitre de son ordre. L'église, la commanderie et le palais, tout a disparu ou changé de face pendant révolution.
Plusieurs reines eurent aussi
leur douaire assigné sur Corbeil et habitèrent cette
ville. La première fut Adèle de Champagne, épouse de
Louis VII; elle y résida quelquefois depuis la mort
de ce prince. La seconde fut Isemburge. La troisième
fut Blanche de Castille, qui resta veuve de Louis VIII
dès l'an 1226, et vécut jusqu'en 1250; elle y était
en 1248,lorsque Louis IX, avant de partir pour la terre
sainte la même année, l'établit régente du royaume par
lettres datées de l'Hôpital-lez-Corbeil, c'est-à-dire,
de St-Jean en l'Ile. La quatrième fut Marguerite de
Provence, veuve de Louis IX. La cinquième fut Clémence
de Hongrie, veuve de Louis le Hutin, depuis l'an 1316.
Louis le Gros prit possession du château des comtes
de Corbeil, après en avoir soumis et châtié le dernier
propriétaire. Louis VII y résidait en 1143 et saint
Bernard vint l'y trouver et lui parler de l'incendie
de Vitry en Champagne. Selon Joinville la cour était
alors composée de plus de trois cents chevaliers. Vers
1262, Jacques Ier, roi d'Aragon, y vint régler quelques
différends avec le roi, et le mariage de sa fille avec
Philippe le Hardi. Philippe le Bel tenait sa cour à
Corbeil en 1290; ce même roi y était encore en 1303.
Philippe le Long faisait sa résidence la plus ordinaire
à Corbeil: il s'y maria en janvier 1306 avec Jeanne,
fille d'Othon IV, comte de Bourgogne. Au mois d'avril
1329, Charles le Bel signa à Corbeil une alliance avec
Robert, roi d'Écosse. Louis XI et Louis XII séjournèrent
aussi au même château, le premier n'y passa que deux
jours après la bataille de Montlhéry, en1465; le second
y venait assez souvent et c'est là que le recteur de
l'université de Paris et ses suppôts vinrent le trouver
pour recouvrer ses bonnes grâces.
Plusieurs sièges
et combats ont désolé Corbeil. En 1357, cette ville
fut prise et pillée par un chef de partisans appelé
le Bègue de Villaines, et ensuite par les Anglais et
les Navarrais. En1363,des gens d'armes français y commirent
des excès inouïs. En 1415, le duc de Bourgogne l'assiégea
sans succès pendant un mois Corbeil devint alors un
lieu de réunion, d'asile et de conférence le château
était vaste et bien fortifié c'est dans sa grosse tour,
fameuse par son élévation, que Charles VII fit enfermer
le fameux Georges d'Amboise.
Le16 octobre 1590,
le duc de Parme prit d'assaut la ville de Corbeil, après
y avoir perdu beaucoup de monde, et l'abandonna à discrétion
à son armée ; les habitations furent pillées et saccagées,
les filles et les femmes violées, les habitants tués,
blessés ou horriblement mal traités. Rigault, chargé
de défendre la ville, fut tué sur la place. Le10 novembre
de la même année, de Givry, gouverneur de la Brie, partit
de Melun, et dans l'espace d'une heure reprit cette
ville par escalade.
La ville de Corbeil est
agréablement située sur la rive gauche de la Seine,
au confluent de l'Essonne. Les environs sont très riants
mais la partie qui est la plus agréable est celle qui
s'étend dans le vallon qu'arrosent les ramifications
de l'Essonne. Outre son antique église, on y remarque
les superbes moulins de MM. d'Arblay, où le système
de mouture à l'anglaise est appliqué dans toute sa perfection.
la halle au blé, et le vaste grenier de réserve, immense
bâtiment à six étages, construit sous le ministère de
l'abbé Terray : nous avons vu réunie dans ce grenier,
en juin 1841 une quantité de grains suffisante pour
nourrir pendant quinze jours toute la population de
Paris. Corbeil communique avec Paris par un chemin de
fer achevé depuis1840. La station de départ est située
sur le boulevard de l'Hôpital, vis-à-vis le pont d'Austerlitz.
Le trajet de Corbeil à Paris et retour se fait en 55
minutes.
Ce bourg, dont l'origine remonte
à une époque très reculée, doit son nom à un palais
qui y existait sous les rois de la première race, où
Childebert rassembla les grands du royaume en 512. La
terre de Palaiseau appartint au domaine royal pendant
tout le temps de la domination mérovingienne; mais elle
cessa d'en faire partie au commencement de la seconde
race. L'abbaye de ST-Germain posséda cette terre jusqu'en
950, époque où, aliénée par Hugues le Grand, qui en
était abbé, elle passa à divers seigneurs laïques.
Le château de Palaiseau, dont il ne reste plus que des
ruines, était jadis assez considérable ; il existait
encore en 1757, époque où écrivait l'abbé Lebeuf, qui
dit « que sa situation était avantageuse pour l'étendue
de la vue, et que l'on y voyait plusieurs tours antiques
avec leurs créneaux , et des pointes en dessous en culs-de-lampes.
»
L'église paroissiale, dédiée à saint Martin, est
située sur la pente de la montagne. Le portail, la tour
et le chœur sont des constructions des XII et XIII siècles.
Le bourg de Palaiseau est situé dans une vallée
agréable, sur l'Yvette, et sur l'ancienne route de Paris
à Chartres. On voit dans ses environs plusieurs belles
maisons de campagne.
En 1835 le bourg de Palaiseau
avait 1716 habitants. En 2011la ville recèle 30 316,
et fait partie également des grandes cités de la ceinture
parisienne. En 1962, elle est promue au sous préfecture
du département de la Seine et Oise, et devient en 1968
sous préfecture du nouveau département de l’Essonne.
Au IXèmesiècle,
Longpont était un bourg assez considérable,
dont dépendaient plusieurs villages des
environs. Guy de Mont-le-Héry y fonda, en
1061, un monastère qui fut l'origine d'un
célèbre prieuré conventuel de l'ordre de
Cluny, détruit en parti dans au cours du
XIXème. Les bâtiments de ce monastère
étaient construits en grès et en briques
; ils formaient un carré parfait avec une
cour au milieu et un cloître autour.
L'abbaye de Longpont et les biens dépendants
du prieuré furent vendus, à l'exception
de l'église, en 1791. Le bâtiment conventuel
a été transformé en une belle maison de
plaisance: En 1819, l'église menaçant ruine,
on se décida à en abattre une partie ; lors
de sa restauration, en 1820, on en a supprimé
le chœur et le chevet, et placé le grand
autel au centre de la croisée. Malgré ces
démolitions, cette église est encore une
des plus remarquables des environs de Paris.
La façade est d'un ensemble lourd et irrégulier
; mais les détails ne manquent pas de grâce
et de légèreté: La grande porte en ogive
est divisée en deux parties par un pilier
contre lequel est adossée une statue de
la Vierge ; de chaque côté de l'arcade on
remarque quatre figures, dont l'une représente
saint Barthélémy, un des patrons titulaires
de l'église. Dans le double cordon de l'ogive
on a sculpté des anges portant, les uns
des coupes , et les autres des encensoirs
; et à son extrémité supérieure on a représenté
le Père éternel bénissant les vierges sages,
dont les figures sont placées à sa droite;
à sa gauche sont les vierges folles, ayant
leurs lampes renversées ; au pied de la
dernière est un arbre desséché avec une
cognée déjà dans la racine, tandis que sous
les vierges sages est un arbre chargé de
fruits. Le château de Villebouzin est une
dépendance de Longpont. La chapelle, la
salle de spectacle, l'orangerie et le parc,
arrosé par des eaux vives, en font une habitation
des plus agréables. La Basilique de Longpont
possède la plus grande collection de reliques
de France.
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